Orge et malt : la qualité maintient la compétitivité française
Les professionnels de la filière brassicole ont récemment réaffirmé leur détermination à maintenir le cap de la qualité française des orges et des malts, reconnue mondialement, pour tenir bon dans la compétition.

Comment la France peut-elle maintenir sa position de deuxième exportateur d’orge de brasserie dans le monde et de premier exportateur mondial de malt, alors qu’elle a face à elle des concurrents qui bénéficient de superficies incomparablement plus importantes, comme le Canada, l’Australie, l’Argentine, ou de coûts très inférieurs, comme la Chine ? Les bonnes places de la France dans le secteur brassicole mondial reposent d’abord sur une spécificité française : « c’est le seul pays à cultiver de l’orge brassicole d’hiver », a souligné Philippe Dubief, vice-président de l’Association générale des producteurs de blé et autres céréales (AGPB), à l’occasion de la journée « orge-malt-bière », organisée par Intercéréales.
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