Alimentation
A l’occasion de son assemblée générale, le Pôle agroalimentaire de l’Isère a expliqué vouloir miser sur le côté local de la marque Ishere pour étendre son pôle de commercialisation.
A l’occasion de son assemblée générale, le Pôle agroalimentaire de l’Isère a expliqué vouloir miser sur le côté local de la marque Ishere pour étendre son pôle de commercialisation.
Les chambres d’agriculture, les FDSEA et les Jeunes agriculteurs de l’Isère, de la Drôme, de Savoie-Mont-Blanc tentent de trouver une solution à la crise que connaît la filière noix.
L’enveloppe et les systèmes méritent une réflexion globale lorsqu’il s’agit de penser performance énergétique d’un atelier de transformation.
« Nous partons de l’existant et travaillons pour voir comment un bâtiment peut être modifié pour être plus performant énergétiquement. Nous intervenons aussi (le reste de l'article est réservé à nos abonnés)
Les arboriculteurs font état d’un bilan de récolte de pommes mitigé. Si les variétés précoces ont été affectées par la chaleur et la sécheresse, puis par la pluie, les autres affichent une tendance plus favorable. Le bilan est correct pour les poires.
Le 26 octobre, les Jardins de Corneyzin ont inauguré leur nouvelle légumerie de 80 m2. Des légumes quatrième gamme peuvent désormais être préparés pour faciliter les approvisionnements.
Cerfrance Isère accompagne les exploitations agricoles dans un diagnostic et une démarche bas carbone, qu’elles peuvent valoriser.
L’attente était forte mais la manifestation de Saint-Jean-de-Bournay a tenu toutes ses promesses. Pour autant, la joie des retrouvailles n’a pas fait oublier les défis auxquels sont confrontés les agriculteurs et le soutien dans la durée qu’ils souhaitent avoir des consommateurs.
Installés entre Belledonne et Chartreuse comme éleveurs et producteurs de glaces au sein du Gaec des Deux massifs, Elodie Tournoud et Josselin Janona, ont fait évoluer les fermes de leurs parents pour peu à peu, créer leur propre exploitation.
Des freins financiers et climatiques ont contraint les porteurs du projet d’unité de méthanisation de Saint-Jean-de-Bournay à ne pas le mener à son terme. Retour sur leur décision et ses enseignements.
Le chiffre d’affaires du marché de gros de Rungis a franchi la barre des 10 milliards d’euros en 2021, profitant notamment d’une forte demande en produits frais français.
Pour la première fois depuis huit ans, les négociations commerciales se sont conclues, début mars, sur une hausse des prix alimentaires. Les agriculteurs en ont-ils bénéficié ? Décryptage avec le médiateur des relations commerciales agricoles, Thierry Dahan.
Le réseau Agrilocal qui rayonne sur trente-huit départements met en relation des agriculteurs et artisans locaux via une plateforme virtuelle avec des collèges, des lycées, des hôpitaux et la restauration communale.
Le marché de l'agroéquipement ralentit, constate le syndicat français des industriels de l'agroéquipement Axema, notant une forte inflation et un allongement des délais de livraison.
Installer rapidement l'ensemble des comités techniques départementaux sur le mal-être agricole, recenser les sentinelles et activer une veille sanitaire liée aux crises : telles sont les trois préconisations urgentes du coordinateur national de la feuille de route sur le suicide, qui tarde à se traduire sur le terrain.
Le secteur de Bougé-Chambalud compte encore sur une petite production historique de fraises. Mais soumises à de nombreuses contraintes, elle devra évoluer pour perdurer.
Faute de repreneur, le numéro 1 français des œufs coquilles a annoncé son projet de cesser ses activités d'ici l'automne. Une décision qui vient conclure une période de plusieurs années d’importantes difficultés économiques.
Selon Agreste conjoncture de juin, en 2022, le recul des surfaces de céréales ( - 3 %) et de protéagineux (- 12,8 %) serait contrebalancé par une nette augmentation des surfaces d’oléagineux (+ 16,9 %).
Un projet de contractualisation entre filières animales et végétales est mené au sein de la FNSEA pour sécuriser les filières animales face à l'explosion des prix, a indiqué Éric Thirouin, lors du congrès de l’AGPB le 8 juin dernier.
Le projet de chèque alimentaire va d'abord se matérialiser par une première aide d'urgence à la rentrée, dont le ciblage reste encore inconnu. S'ensuivra une réflexion autour d'un second dispositif de long terme.